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Visions du salon, Bocap/Euro-Sarco, Coco Chanel et les capitons

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le Journal du Funéraire

Il est des fois ou il est agréable de se tromper.

Prenez les capitons de cercueil, par exemple : on pourrait penser que c’est le sujet le plus ennuyeux du monde. Tout conseiller funéraire vous le dira, il n’y a que quatre moments ou l’on parle de capiton, lorsqu’on est un peu blasé, c’est lors de la réception de famille, lorsqu’on vérifie au dépôt qu’il reste du stock, lorsque le dépôt appelle pour s’assurer que la famille est bien au courant qu’un costume noir sur un capiton bleu marine, c’est moche, et lorsque le directeur lance une consultation pour changer la gamme.

Le reste du temps, le capiton, on n’en parle pas. Pas par ostracisme, mais parce qu’on croit avoir fait le tour du sujet.

Ça, c’est avant d’aller faire un tour sur le stand de BOCAP. C’est simple, quand on écoute Mr Bertrand, le directeur de Bocap/Euro-Sarco, le sujet du capiton devient soudain intéressant. Déjà, parce qu’on a affaire à un passionné, qui cherche toujours des moyens d’améliorer le confort d’utilisation, ensuite parce qu’il existe énormément d’aspects dans la conception, la réalisation, qui échappent à l’œil du professionnel. Quand l’on sait que la société ne fait pas que des capitons, mais également des cercueils, des accessoires etc… Vous aurez aisément deviné que nous allons leur consacrer un article très prochainement. Et que nous sommes contents de nous être trompés : il y a des choses à dire sur les capitons.

Mais BOCAP avait également des invitées. Deux jeunes femmes, étudiantes en couture, qui étaient venues au salon présenter leurs créations, des robes réalisées à base de tissu dont l’on se sert pour la réalisation de capitons de cercueils. Le fruit d’une rencontre entre leur enseignante et Mr Bertrand, à qui la professeure avait au départ demandé de simples chutes de tissu. « Lorsqu’elle a vu que les captons n’étaient plus mauve ou couleur de deuil traditionnel, elle a exprimé sa surprise et c’est là que l’idée a germé » nous explique un des commerciaux.

L’idée, montrer que l’on peut faire de très jolies choses avec des tissus issus du funéraire, ou, selon le point de vue d’où l’on se place, montrer que le funéraire a bien changé pour mieux parler aux vivants.

L’exercice imposé aux disciples de Christian Dior était de réaliser, à partir de robes simples et imposées, des modèles améliorés, uniquement dans des tissus de capitons. Les rivales de Karl Lagerfeld ont donc réalisé les patrons, découpés et cousus les modèles, et même joué les mannequins d’essayage. L’histoire ne dit pas si, pour rendre un discret hommage au funéraire, on leur a imposé le point de croix.

Au résultat, une exposition surprenante, épatante, et une initiative vraiment sympathique pour ouvrir le funéraire au monde, totalement à l’inverse du culte du secret et de l’omerta qu’on reproche à notre profession. Un petit reproche ? Allez, pour la route : Mesdemoiselles, si vous voulez être les futures Coco Chanel, il va falloir être un peu plus loquaces. Le talent, manifestement, vous l’avez, un petit peu de confiance en vous, et ça ira tout seul.

Le site internet de Bocap/Euro-Sarco

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Visions du salon, Dernières Confidences comme une lettre à la poste

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Avec la modernité, le courrier tend à devenir un lointain souvenir. Pourquoi s’escrimer à rédiger de sa plus belle plume une missive manuscrite sur un parchemin filigrané, que des mains fébriles encore d’avoir attendu le facteur s’empresseront de décacheter afin de s’enquérir des nouvelles, alors qu’on peut envoyer un mail ?

Pour des choses importantes. Certains d’ailleurs soutiennent mordicus qu’on envoie des courriers à ceux qu’on aime, mais c’est un raccourci hasardeux : le Trésor Public vous écrit chaque année, après tout, et pas pour vous renouveler ses gages d’affection.

Mais il est des lettres importantes, des lettres d’amour, des lettres de confession peut être, qu’on regrette de ne pas avoir écrites et envoyées avant qu’il ne soit trop tard.

Ce sont ces missives que Dernières Confidences propose de déposer auprès du cher disparu. Pour ce faire, rien de plus simple : déposer une enveloppe dans la boîte aux lettres. Celle-ci se présente soit sous la forme d’un ajout au cercueil, soit directement percé dans celui-ci sur certains modèles adaptés.

Mais, demanderez-vous, à la fois séduits et anxieux, est-ce légal ? « Oui » répondent ses créateurs « La boîte aux lettres est bien séparée du cercueil. Même pour les modèles percés : la boîte à l’intérieur est bien étanche et fabriqué avec la même épaisseur de bois. La législation est donc bien respectée » mais peut on y introduire des objets, des piles ? « Pas du tout, le perçage et l’angle font que seules les lettres passent ». Aucun souci, donc, dans une configuration comme dans l’autre, vos cercueils seront bien normés et vous serez à l’abri des surprises.

Un petit coup de cœur de Funéraire Info sur le salon. Nous vous en reparleront bien entendu prochainement. Un article que nous avons hâte d’écrire, et qui devrait passer comme une lettre à la poste.

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De la gestion des cimetières, en direct du Sénat

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Question écrite de M. Hervé Maurey: M. Hervé Maurey rappelle à M. le ministre de l’intérieur les termes de sa question n°05376 posée le 21/03/2013 sous le titre :  » Complexité et coût des obligations supportées par les communes concernant la gestion des cimetières « , qui n’a pas obtenu de réponse à ce jour.
Question écrite n° 07754 de M. Hervé Maurey (Eure – UDI-UC) publiée dans le JO Sénat du 01/08/2013 – page 2243

Réponse du Ministère de l’intérieur: En application de l’article L. 2213-8 du code général des collectivités territoriales, « le maire assure la police des funérailles et des cimetières ». Aux termes de l’article L. 2213-9 du même code, « sont soumis au pouvoir du maire [...] le maintien de l’ordre et la décence dans les cimetières [...] ». Le pouvoir de police ainsi conféré au maire est un pouvoir de police spéciale. Sur le fondement de ces dispositions, le fonctionnement, l’aménagement et l’entretien des cimetières relèvent de la compétence du maire, qui fait exécuter l’ensemble des opérations nécessaires au bon entretien des parties publiques du cimetière. Chaque maire doit donc assurer la gestion et l’entretien de son cimetière. Les dépenses d’entretien du cimetière ont un caractère obligatoire pour la commune (14° de l’article L. 2321-2 du code général des collectivités territoriales). Afin de pouvoir en partie financer les dépenses liées à cette gestion et à cet entretien, l’article L. 2223-22 du code général des collectivités territoriales permet aux communes d’instituer des taxes sur les inhumations, les convois et les opérations de crémation réalisés sur leur territoire. Ces taxes constituent des prélèvements de nature fiscale et les recettes qu’elles génèrent doivent être inscrites dans la section de fonctionnement du budget de la commune. La commune peut également percevoir d’autres types de recettes et notamment : le produit des concessions funéraires (4° de l’article L. 2331-2 du code général des collectivités territoriales) ; le droit de séjour en caveau provisoire ; la vente des monuments funéraires récupérés sur les sépultures que la commune a décidé de reprendre (sépultures en terrain commun à l’issue du délai de rotation ou concessions en état d’abandon ou non renouvelées à échéance). S’agissant d’une mission de gestion du domaine public, les communes ont la possibilité de passer des marchés avec des entreprises privées pour la réalisation des travaux et services liés à l’entretien du cimetière et de faire ainsi jouer le jeu de la concurrence leur permettant l’obtention des tarifs raisonnables. Par ailleurs, le législateur a donné aux maires de nouveaux moyens d’action pour assurer la sécurité des usagers dans les cimetières. En vertu de ses pouvoirs de police spéciale des monuments funéraires menaçant ruine (articles L. 511-4-1 et suivants et D. 511-13 et suivants du code de la construction et de l’habitation), un maire peut mettre en demeure le titulaire d’une concession d’effectuer des travaux et de faire cesser un danger lié à l’état du monument funéraire. Lorsque la commune se substitue aux personnes titulaires ou à leurs ayants-droit défaillants et fait usage des pouvoirs d’exécution d’office qui lui sont reconnus par ce dispositif, elle agit en leur lieu et place, pour leur compte et à leurs frais. Les frais de toute nature, avancés par la commune, sont recouvrés comme en matière de contributions directes (dernier alinéa de l’article L. 511-4-1 du code de la construction et de l’habilitation). Au vu de ce qui précède, il n’est pas envisagé de modifier la réglementation en vigueur qui vise à assurer l’ordre et la décence des cimetières et le respect dû aux défunts.

Réponse du Ministère de l’intérieur, publiée dans le JO Sénat du 28/11/2013 – page 3442

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Votre actualité sur les pompes funèbres

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Visions du salon, coups de coeur et petites flammes

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Vu au salon, la société Promoflora, dont nous avions discuté avec le très sympathique patron mercredi soir, au moment du montage des stands. La société, d’abord spécialisée dans les articles à destination des fleuristes, propose une gamme pour les pompes funèbres tout à fait intéressante, du registre de condoléances à la pochette pour les familles, personnalisée et logotée. Le tout avec un vrai souci de la qualité et d’excellentes idées.

« Mais, quelles idées ? » nous demanderez-vous. Eh bien, pour le savoir, il faudra patienter jusqu’à l’article que nous leur consacreront. Nous avons essayé de retourner sur leur stand durant le salon, mais il ne désemplissait pas. Preuve que nous n’avons pas été les seuls à repérer et apprécier cette entreprise.

 

La ciergerie Desfossés-Efflam, vous connaissez. Si, si, on vous assure : vous connaissez. Lorsque vous assurez un convoi à l’église, sans nul doute, les bougies qui s’y consument viennent de chez eux. Mais que faisaient ils donc sur le salon ? « Nous proposons une gamme pour les pompes funèbres » nous explique l’équipe « Nous avons remarqué que de nombreuses maisons funéraires proposaient des bougies, des lanternes etc… et nous avons souhaité proposer notre compétence en la matière ».

En résulte de très jolis modèles, dont nous reparlerons également très bientôt.

 

A. Artistico Urnes présentait sur son stand une gamme d’urnes joliment ornementées, ainsi que ce bouquet de métal, finement ouvragé. Typiquement le genre d’articles sur un stand qui pousse le visiteur à s’arrêter et qui fait la différence. Faute de commercial disponible à cet instant, nous ne savons pas si ces fleurs sont disponibles à la vente.

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Les associations funéraires tenaient aussi salon au Bourget

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Le salon du funéraire du Bourget était également, dans un espace dédié, de mettre en avant les associations. D’une utilité incontestables, elles ont des choses à dire, et des idées à exprimer.

l'AEMS présentait son fonctionnement et ses objectifs. une association de qualité : présidente et secrétaire sont de fidèles lectrices de Funéraire Info

La mémoire Nécropolitaine

Que serait un salon sans l’incontournable André Chabot ? En compagnie de son inséparable complice, Anne Fuard, le photographe exposait ses ouvrages, et expliquait son travail, sa démarche et ses découvertes tout autour du monde. Passionnant, comme d’habitude, André Chabot a été sollicité durant les trois jours du salon par des curieux et des admirateurs.

Sur le stand, nous avons eu également le plaisir de rencontrer Thierry Le Roi, guide et promeneur infatigable du Père Lachaise, présent le jeudi et le vendredi. Bien que nous nous en soyons fait la promesse, nous n’avons pas eu le temps de passer avec lui autant de temps que nous l’aurions voulu. Ce sera pour une prochaine fois, à l’occasion du Père Lachaise, Thierry, sans faute !

Les crématistes au rendez-vous

La Fédération Française de Crémation représentait, sur le salon, les associations de crématistes de France, et ses représentants semblaient eux aussi très pris. Ce qui est plutôt une bonne nouvelle, tant ces représentants de la société civile sont un lien assez unique en son genre entre les familles, les gestionnaires de crématoriums et les élus locaux.

Lors d’une pause cigarette, nous avons pu échanger à propos des grandes thématiques de la crémation d’aujourd’hui et demain, et cet échange se poursuivra dans les colonnes de Funéraire Info très prochainement. Il faut vous avouer que c’était déjà prévu, et que le salon était surtout un prétexte pour montrer nos têtes et échanger une chaleureuse poignée de main.

Rendez-vous bientôt, donc.

La gestion du deuil

L’association Vivre Son Deuil aurait sans aucun douté mérité une fréquentation plus assidue de son stand. Les bénévoles s’occupent de l’accompagnement des personnes en deuil, à travers des rendez-vous, des groupes de parole, une ligne d’écoute téléphonique, des ateliers et conférences.

Et leur travail est immense : recruter et former des bénévoles en fait partie, une partie non négligeable, tant les écoutants sont rares et leur formation complète.

Ce type d’association a toute sa place dans le carnet d’adresse d’un conseiller funéraire digne de ce nom. Aucune famille ne devrait repartir sans, glissé dans sa pochette, parmi les documents, la carte de visite d’une association d’endeuillés. La plupart ne s’en serviront pas, parce qu’ils n’en auront pas besoin. Mais celles pour qui c’est nécessaire devraient savoir vers qui se tourner. C’est aussi le travail des pompes funèbres de fournir ces informations.

La mémoire, toujours…

L’AEMS est une association qui propose des contrats d’entretien de sépultures pour des particuliers, et contrôle leur exécution. L’idée, conserver en l’état un monument pour quiconque n’a pas de descendant, par exemple. Pour ce faire, l’association collabore avec des marbreries et pompes funèbres locales.

Une action très intéressante, d’autant plus que les bénévoles sont soucieux autant du patrimoine funéraire particulier que général, dans une optique de souvenir et de conservation de la mémoire. Une structure que l’on vous présentera bientôt plus en détails.

Une vaste vie associative

Le funéraire génère une activité associative vaste, souvent issue d’un besoin précis. Nous avons déjà parlé de l’AFIF, dans le compte-rendus de ce salon, et nous réservons des articles à venir pour les associations et syndicats professionnels.

C’est néanmoins l’occasion de rappeler que nous n’avons pas forcément pu parler à tout le monde, parce que vous étiez occupés et que nous n’avons pu repasser, par exemple, et que ce n’est pas parce que nous ne parlons pas de vous dans ces colonnes que nous ne voulons pas le faire. Bien au contraire : présents au salon ou pas, les associations sont actives, ont des idées, et ont toute leur place dans Funéraire Info. N’hésitez donc pas à nous envoyer un message pour vous présenter, et nous vous recontacterons.

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Avis de décès et nécrologie du 2 décembre 2013

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Le carnet du jour et les avis de décès, ils nous ont quittés… Sincères condoléances à leurs proches, parents et alliés.

Les avis de décès et nécrologie du 2 décembre 2013

 

Avis-de-décès.net

Martin Sharp, né en 1942 à Sydney en Australie, l’un des designers emblématiques du rock psychédélique, est mort à l’âge de 71 ans, dimanche à Sydney. Il avait dessiné des posters et des pochettes de disque hallucinantes dans les années 1960.

Le romancier et éditeur malien Moussa Konaté, né en 1951 à Kita, au Mali est décédé, à l’âge de 62 ans, samedi dernier à Limoges en Haute-Vienne. Il a fait découvrir son pays à travers ses romans policiers qui mettent en scène le commissaire Habib.

André Halimi est mort dimanche 1er décembre 2013 à Jérusalem, à l’âge de 83 ans. Auteur de documentaires, dont Chantons sous l’Occupation (1976) et La délation sous l’Occupation (2003),  il était cofondateur du Festival du cinéma américain de Deauville et à l’origine du Festival du film policier de Cognac.

L’éditeur américain mais d’origine française car est né à Paris, André Schiffrin, qui avait publié aux États-Unis Sartre, Foucault ou encore Chomsky, est mort à Paris dimanche 1er décembre, à l’âge de 78 ans.

Le lieutenant Jean-Louis Labetoulle, sapeur-pompier professionnel des Yvelines de 58 ans est décédé dimanche en fin après-midi des suites de ses blessures causées par une mauvaise chute lors d’une intervention sur l’A13, Il sauve des vies, il donne sa vie.

Sans oublier aussi:

 

Madame Marcelle Mongheal, Clermont Ferrand (63000)

Monsieur André Tansens, Quintenas (07290)

Madame Claudette Brenier, St Chamond (42400)

Monsieur Michel Courret, Coulounieix Chamiers (24660)

Madame Mauricette Larat, La Ferte Hauterive (03340)

Madame Marie Rose Amet, St Pourcain Sur Sioule (03500)

Madame Odile Levrat, St Etienne (42000)

Monsieur Gérard Bourgault, Mayet (72360)

Madame Hélène Dumas, Ardes (63420)

Monsieur Guy Viravaud, Issoire (63500)

Monsieur Jean Hulard, Marchenoir (41370)

Pierre Missio , (avec photo), Hindlingen (68580)

Madame Madeleine Troutier, Cirey (70190)

Monsieur Jackie Ibba, Annonay (07100)

Monsieur Pierre Belot, Orcet (63670)

Cécile Gobin, Lussat (63360)

Madame Eliane De Beaudrap, Eymet (24500)

Madame Martine Forthoffer, Berthenicourt (02240)

Monsieur Raoul Fétiveau, Les Lucs Sur Boulogne (85170)

Madame Marcelle Meyer, Lanfroicourt (54760)

Jacques Debruille, Nods (25580)

Monsieur Claude Grandet, Chateau D Olonne (85180)

Monsieur Bernard Taillade, Fongrave (47260)

Monsieur Joseph Rinaldi, Villeneuve Sur Lot (47300)

Monsieur Jacques Rivat, Senaide (88320)

Madame Fernande Rigaux, Arbigny Sous Varennes (52500)

Bernard Deniset , (avec photo), Pontarlier (25300)

. Adrien ., Touffreville La Corbeline (76190)

Monsieur Guy Daprey, Blondefontaine (70500)

Madame Veuve Pierre Fudala, Lens (62300)

Monsieur Georges Defortery, Ligny En Barrois (55500)

Jean Reymond, St Etienne (42000)

Gérard Lhomme , (avec photo), Rouvroy (62320)

Madame Elise Faucheux, Chateaubriant (44110)

Madame Marie Madeleine Gilbert, Le Creusot (71200)

Madame Robert Deceuninck , (avec photo), Oignies (62590)

Madame Bernadette Cousin , (avec photo), Henin Beaumont (62110)

Monsieur Edouard Ballout, St Martial De Valette (24300)

Madame Danielle Jacquemond, St Etienne (42000)

Monsieur Julian Blanco, Le Creusot (71200)

 

«Avis-de-deces.net est le site internet permettant aux familles d’annoncer le décès d’un proche d’une manière rapide au plus grand nombre. Les parents, proches et amis peuvent transmettre facilement et gratuitement l’envoi de condoléances ou de témoignages en ligne leur soutien aux familles dans la douleur et la peine.

Pour publier un avis de décès sur « Avis-de-deces.net », prenez contact avec l’entreprise de pompes funèbres qui assure la prise en charge de la personne disparue.»

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Pilato exposait au salon funéraire Paris, focus sur l’organisation

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Pilato exposait au salon funéraire Paris 2013, nous avons reçu ce petit mail sympathique pour nous remercier de notre visite sur un des stands qui ne laissaient visiblement pas indifférents les visiteurs… « La société PILATO vous remercie de votre présence sur notre stand lors du Salon Funéraire Paris 2013. Ce fut l’occasion de partager une expérience unique autour de nos modèles exclusifs Mercedes Benz et Jaguar. Vous avez également plébiscité notre prototype « Vito version Française » qui évoluera dans les prochains mois. Restez à l’écoute des informations Pilato sur notre site internet et dans l’attente de vous rencontrer prochainement, nous restons à votre disposition pour tout renseignement.« 

Nous avions fait une interview  d’Olivier Defrancq, représentant Pilato en France pour évoquer la participation de sa marque au Salon Funéraire Paris 2013 pour Funérevue.

Le stand Pilato que vous avez vu

Funérevue: Bonjour Olivier, pour commencer, pouvez-vous vous présenter et présenter votre société ?
Olivier Defrancq: Bonjour, je suis Olivier Defrancq distributeur pour le France et Dom-Tom depuis Mai 2012. Mes 20 ans d’expérience dans le funéraire avec la Société LTF et la passion de l’automobile ont séduit l’entreprise PILATO,  l’un des principaux fabricants de corbillards en Europe. Nous réalisons la conception et la construction de corbillards depuis 1963 avec des aménagements funéraire de qualité en Europe et à l’international. Nous développons actuellement les nouveaux modèles limousines Jaguar et Mercedes-Benz avec en exclusivité le futur Vito . Plus que jamais, au cours des dernières années, nous avons introduit un concept novateur qui fait la spécificité des corbillards Pilato. Notre mission est de satisfaire toutes les demandes particulières des différents pays européens afin de répondre à toutes les traditions funéraires.
C’est une année spéciale pour nous: en effet, nous célébrons le 50e anniversaire de l’entreprise familiale et, à cette occasion, nous aimerions vous inviter à apprécier le design italien et l’exceptionnelle conception Pilato.
Nos nombreux modèles de voitures funéraires vous conduiront vers une nouvelle expérience professionnelle.

Funérevue: Vous allez exposer cette année au Salon du Funéraire de Paris, c’est votre première participation ?
Olivier Defrancq: Nous avons déjà participé au Salon de Paris en 2011, c’est une vitrine internationale. Nous espérons que nos produits auront un grand succès auprès des professionnels français et étrangers.

Funérevue: Comment les organisateurs du salon vous aident-ils ?
Olivier Defrancq: Les organisateurs nous facilitent l’installation du stand avec la mise en place définie lors de notre engagement; cette mise en place est spécifique à la disposition de nos véhicules.

Funérevue: Votre participation au salon, est-ce pour un objectif d’image, de prospection, ou la vente immédiate ?
Olivier Defrancq: Notre participation au salon de Paris nous donne une importance médiatique, nous concrétisons les nombreux contacts pris avec l’ensemble de la profession tout en prenant des contacts  avec de nouveaux clients.

Funérevue: Vous avez des offres spéciales pour le salon ?
Olivier Defrancq: Non, pas d’offres spéciales pour le salon, les meilleures conditions de vente sont identiques toute l’année !

Funérevue: Comment avez-vous élaboré votre stand ?
Olivier Defrancq: Le style de notre stand sera moderne et accueillant à l’image de l’entreprise !  L »idée est de donner un maximum de visibilité à nos véhicules, et faire en sorte que notre entreprise et nos corbillards soient reconnaissables entre tous.

Funérevue: Parmi tous les exposants, quelle est votre « botte secrète » pour vous distinguer ?
Olivier Defrancq: Notre « botte secrète » est simplement notre histoire et notre expérience de 50 ans, la diversité et la qualité des véhicules que nous proposons et qui peuvent satisfaire le plus grand nombre d’entreprises funéraire.

Funérevue: Comment préparez-vous votre équipe, qui sera présente sur le stand ?
Olivier Defrancq: Nous nous organisons au mieux pour participer au Bourget, les personnes qui seront présentes au Salon sont la direction italienne avec la collaboration de notre distributeur français.

C’est une logistique lourde, comment vous êtes-vous organisé pour le transport et le montage du stand, du matériel d’exposition ?
Nous participons cette année à 10 Salons en Europe et jusqu’à Moscou ! Ces dernières années nous avons une organisation logistique rodée qui permet de bien organiser le stand et les véhicules exposés.

Le stand Pilato que vous n'avez pas vu

Funérevue: Vous avez raté le Salon Funéraire? contactez Olivier ou Pilato directement pour découvrir le corbillard et la limousine funéraire « made in Italy by Pilato ! »

Pour aller plus loin:

PILATO S.P.A.

Production et vente de corbillards (Demandez Barbara, elle parle français avec un accent charmant)

Via Foscarini 6
Nervesa della Battaglia (TV)
Italy

E-mail: pilato@pilato-spa.it

Ou

La société LTF Sas qui est Agent  pour la France.  Démarquez-vous de vos concurrents en proposant une limousine Mercedes et Jaguar aux familles. Pour tout renseignement ou devis, contacter dès à présent votre correspondant Mr Olivier DEFRANCQ au 06 76 48 57 42.

Le Transport Funéraire sas

3120 Route d’Avignon

13090 Aix en Provence

FRANCE

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Frima Concept, bilan du Salon Funéraire Paris 2013

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FRIMA CONCEPT, est une société dont nous n’avons jamais parlé sur funéraire-Info, et cela est bien dommage… C’est fabricant français, spécialisé dans les équipements frigorifiques funéraires : morgues, caissons de transport des corps, tables réfrigérées, tables d’autopsie, mobilier inox, hygiène, instruments et fluides de thanatopraxie. La société était sur le stand K10 du salon funéraire Paris 2013 et le bilan de ce salon est bon, même très bon, interview!

Funeraire-Info : Bonjour Monsieur Dervieux. Pour nos lecteurs, pouvez-vous brièvement vous présenter et présenter votre entreprise, FRIMA Concept?

Yann DERVIEUX : Bonjour, je me présente, Yann DERVIEUX, Responsable Commercial de la société FRIMA Concept. Notre société, FRIMA Concept, comptant 38 employés, est spécialisée dans la conception et la  fabrication d’équipements frigorifiques. Pour notre marque FRIMA Funéraire, nous proposons principalement à la profession nos équipements pour la conservation (morgues) et la présentation des corps (tables réfrigérées, chariots…) en chambre funéraire ainsi que nos caissons réfrigérés avant et après mise en bière pour le transport des corps . J’invite vos nombreux lecteurs à venir visiter notre fabrication en nos locaux de Givors dans le Rhône.

Frima Funéraire, stand K10 au Salon funéraire Paris 2013

Funeraire-Info : Vous avez exposé au salon du funéraire Paris 2013, depuis combien de temps aviez-vous décidé d’y aller ? C’était la première fois, ou c’est une habitude ?

Yann DERVIEUX : Le salon du funéraire de Paris est un salon incontournable de la profession auquel nous participons à chaque édition. Il nous permet de voir nos clients et de nouveaux prospects français et étrangers.

Funeraire-Info : Avez-vous eu le temps de faire le tour des exposants ? Si oui, qu’avez-vous vu qui vous a plu ?

Yann DERVIEUX : Je n’ai pas eu le temps de faire un tour complet. Je n’ai pu voir que les stands de nos clients et de nos partenaires.

Funeraire-Info : Bon pour le tour du salon vous lirez Funéraire-Info… Comment avez-vous trouvé l’organisation, la logistique ?

Yann DERVIEUX : Nous avons bénéficié cette année d’une très bonne organisation. Je pense que le salon était très agréable pour les visiteurs.

Funeraire-Info : Comment étaient les comportements d’achat cette année ?

Yann DERVIEUX : Cette année a été très concrète au niveau décisionnel. Beaucoup de clients sont venus pour finaliser des dossiers que nous suivions depuis plusieurs mois. Le salon a été l’occasion pour eux de valider la qualité de nos équipements et de s’engager avec nous.

Funeraire-Info : Pour finir, qu’attendiez-vous du salon ? Et avez vous été satisfait ?

Yann DERVIEUX : Le salon est pour nous l’occasion de montrer notre savoir faire et le service que nous pouvons apporter au client. Nous attendons donc de voir un maximum de visiteurs, prospects et clients.

Cette édition aura été satisfaisante et espérons voir encore plus de monde lors de la prochaine édition.

Funeraire-Info : Merci beaucoup Yann, maintenant nous vous connaissons mieux et nous ne manquerons pas de relayer votre actualité!

Le Salon Funéraire Paris 2013 était l’occasion pour les équipes de Frima Concept de présenter une nouveauté : Une table de présentation toute inox avec inclinaison tête réglable et coulissante. La partie jambe est repliable pour faciliter la manipulation. Elle est déclinée en 3 largeurs : 60, 70 et 80 cm.

Nouveauté: la table de présentation

Pour aller plus loin:

FRIMA CONCEPT

Z.I. du Gier – Rue de la Démocratie
69700 GIVORS
Tél : 04.78.07.20.56 – Fax : 04.78.07.20.69
Responsable Commercial: Yann DERVIEUX
Mail: y.dervieux[at]frimaconcept.com
Site internet de Frima Concept

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Les enseignes et réseaux au salon du Bourget

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Le salon du Bourget a été sans conteste le salon des franchiseurs et des réseaux. Tous ou presque y étaient présents, pour les membres de leur réseau, mais aussi pour en séduire de nouveaux.

Le mur des remerciements de Roc-Eclerc, avec tous leurs affiliés

Roc-Eclerc, immanquable

A tout seigneur, tout honneur : Roc-Eclerc était présent sur le salon, et il était impossible de les manquer : pile face à l’entrée, à un des emplacements les plus stratégiques. Le numéro deux du marché y arborait ses nouvelles couleurs et son nouveau logo, réinterprétation de ses fondamentaux dont nous vous avons dit tout le bien que nous en pensions.

Sur le stand, l’équipe de direction au complet, Sandrine Thiéfine et Christine Pagnac en tête, accueillant les visiteurs. Paris est l’occasion pour beaucoup de franchisés de venir saluer leurs interlocuteurs habituels, et cette année, ces même franchisés étaient à l’honneur, comme à travers ce tableau ou étaient inscrits tous les nomes des membres du réseau « C’est une façon de les remercier et de rendre hommage à leur travail quotidien » nous explique Sandrine Thiéfine.

Mais le stand était aussi à destination des futures enseignes. Suite à la participation du groupe Roc-Eclerc au salon des franchisés, l’enseigne tenait à montrer à ses contacts le meilleur d’elle-même. Opération réussie haut la main.

Le choix Funéraire, bien présent

Le Choix Funéraire

Le Choix Funéraire également était dans une opération de conquête. Totalement différent dans son fonctionnement, le réseau propose une structure associée sous la forme de coopérative au lieu de la franchise et une mutualisation des achats et compétences. Il revendique ainsi la première place des structures de pompes funèbres associées.

Si les nouveautés proposées par le réseau ont été nombreuses, comme le nouveau concept de magasin funéraire récompensé, Philippe Martineau, directeur général du réseau, annonce des nouveautés et des projets encore plus nombreux dans le futur.

De quoi attiser la curiosité, mais patience. Funéraire Info se tiendra aux première loges pour vous en informer.

Fin du montage du stand Pascal Leclerc, le mercredi soir : Philippe Gentil y était déjà

Pompes Funèbres Pascal Leclerc, marathoniens

Le stand des Pompes Funèbres Pascal Leclerc était également très fréquenté. Comme ses confrères, le réseau était en quête de nouvelles enseignes, cherchant à accroitre le nombre de points de vente et sa présence sur le territoire.

En pointe, le toujours très sympathique et sollicité Philippe Gentil tenait encore sa place de « marathon man » du funéraire. Sur le stand pour y rencontrer les visiteurs, dans les allées pour s’imprégner de l’offre des exposants, on ne sait comment, il trouvait un instant à accorder à chacun.

Un festival de grandes enseignes

Le réseau Funéris (en G47), créé en 1990, présentait son réseau et ses produits, parmi lesquels le contrat Funéris Prévoyance, créé par les professionnels. Thierry Céotto, Président du réseau Funéris, Ophélie Chauffert, responsable Marketing et communication, soulignaient avec joie le dynamisme du réseau et l’intérêt que portaient les visiteurs à son stand.

Le réseau Point Funéplus en C61, mettait en avant la mutualisation des moyens des petites entreprises qui le composent sous la houlette de Loick Rodde, PDG de la structure. Antony Fallourd soulignait la mise à disposition de ses membres de moyens importants en terme de communication, de développement ou de formation. Un argumentaire auquel se sont montrés sensibles de nombreux visiteurs.

Lost Funéraire proposait ses formules et sa méthode, détaillées par Rémi Cailhau, le directeur commercial.

Le GEFF, Groupement des Entreprises Funéraires de France, insistait sur la souplesse de sa formule d’adhésion, et son président Philippe Rollet insistait particulièrement sur la nécessité pour les indépendants de s’unir afin de mieux résister à une concurrence implacable.

Le salon des enseignes ?

Il y en avait pour toutes les visions du funéraire, toutes les formules : cette année, les réseaux étaient présents en force, et absolument immanquables. Si beaucoup de professionnels se sont montrés intéressés, pour développer leur entreprise, voire organiser leur propre concurrence, d’autres en revanche se demandaient si il était possible de continuer à exister dans le funéraire en restant petit et indépendant. Et, dans la positive, pour combien de temps encore ? Une vaste question qui se posera avec plus d’acuité encore dans le futur. Nous poserons la question à Jean Ruellan, directeur marketing et communication des Pompes Funèbres Générales (OGF / PFG) qui le vendredi, était sur salon et que nous avons eu l’occasion de saluer sur le Stand de la CPFM, avant de le voir arpenter les allées du salon pour sans doute nouer des contacts pouvant déboucher sur des partenariats entre le géant du funéraire Français et des petits exposants chanceux…

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Visions du salon, les corbillards Ducarme sur la voie royale

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Que serait un salon du funéraire sans corbillards ? Et que serait une exposition de corbillards sans le leader ? Ducarme exposait donc ses véhicules, atour desquels se pressait une foule nombreuses de visiteurs, futurs clients ou déjà possesseurs d’un véhicule simplement passés en amis.

Vincent Roux, le directeur, faisait lui-même l’article des innovations de la marque, accompagné de son équipe de commerciaux manifestement épuisés mais heureux. Une armée de Bagneux, de Picpus ou du best-seller Père Lachaise, sur bases Renault, Opel, Mercedes, Peugeot, Fiat… desservira encore en 2014 les cimetières de France.

Le corbillard électrique était également présent sur le stand. Un best-seller également ? « Clairement : pas encore » nous explique un commercial « Mais nous devons l’avoir. Même si ses ventes sont encore marginales, nous maîtrisons la technologie, ses utilisateurs sont pleinement satisfaits, c’est l’avenir du véhicule funéraire. C’est aussi notre métier de faire évoluer les habitudes ». Il est vrai que le véhicule est bluffant : totalement silencieux, non polluant, c’est l’outil parfait pour faire un convoi local qui s’achève en procession, avec la famille qui suit à pied au cimetière.

Sympathiques, efficaces, les équipes de Ducarme n’ont pas volé leur succès.

Le logo de Ducarme

Vincent Roux et ses équipes ont répondu à notre questionnaire concernant le Salon Funéraire Paris 2013, un salon riche de rencontre, un salon incontournable , un salon qui est une fête pour Gruau Saint-Etienne et la marque Ducarme. Nous adhérons complétement à ce terme, le Salon Funéraire est une fête pour toute la profession. Interview!

Funeraire-Info : Bonjour. Pour nos lecteurs, pouvez-vous brièvement vous présenter et présenter votre entreprise ?

Vincent Roux : Bonjour. Gruau Saint-Etienne est une entreprise de 40 personnes, spécialisée dans la production de véhicules funéraires commercialisés sous la marque DUCARME. Cette entreprise a été fondée en 1934 et fabrique aujourd’hui 50% des véhicules funéraires immatriculés en France.

Funeraire-Info : Vous avez exposé au salon du funéraire Paris 2013, depuis combien de temps aviez-vous décidé d’y aller ? C’était la première fois, ou c’est une habitude ?

Vincent Roux : Le Salon du Funéraire de Paris est une manifestation incontournable pour DUCARME ; nous y présentons, depuis toujours, nos nouveautés et notre gamme de véhicules…

Funeraire-Info : Avez-vous eu le temps de faire le tour des exposants ? Si oui, qu’avez-vous vu qui vous a plu ?

Vincent Roux : Il est vrai que les journées sont intenses et que nous nous concentrons sur les visiteurs qui viennent sur notre stand. Néanmoins, nous apprécions que nos concurrents soient présents et valeureux, car il faut que les clients et prospects profitent d’une offre complète. Par ailleurs, l’esthétique de certains stands est remarquable et nous faisons tout pour que le stand DUCARME contribue à l’image de notre marque.

Funeraire-Info : Comment avez-vous trouvé l’organisation, la logistique ?

Vincent Roux : La gestion de l’éphémère est délicate et certaines phases d’installation sont génératrices de stress. Finalement, tout finit par s’arranger et nous n’avons pas eu de problèmes perturbant notre activité en cours de salon.

Funeraire-Info : Comment étaient les comportements d’achat cette année ?

Vincent Roux : Les visiteurs sont des professionnels et ils ne sont pas là par hasard ! Tous sont intéressés : certains pour des projets immédiats, d’autres pour des projets à plus long terme, beaucoup veulent connaitre les innovations présentées.

Funeraire-Info : Pour finir, qu’attendiez-vous du salon ? Et avez vous été satisfait ?

Vincent Roux : Le Salon du Funéraire est une fête pour notre entreprise ! D’abord quand nous préparons les véhicules, ensuite quand nous installons le stand, puis quand nous recevons nos visiteurs et enfin, bien sûr, quand nos clients, nouveaux ou fidèles nous signent des commandes ! Nous avons fait un bon salon et nous sommes maintenant concentrés sur la satisfaction de nos clients, par la qualité des véhicules que nous allons produire et le respect de nos engagements. Avec le service et le sourire en plus…

Ducarme au Salon funéraire paris 2013

Pour aller plus loin

Ducarme au Salon funéraire paris 2013 Le logo de Ducarme Le logo de Gruau Saint-Etienne IMG_1804 (1024x768)
GRUAU ST-ETIENNE
120, rue Albert Camus
42350 LA TALAUDIERE
Tél : +33.4.77.47.64.90
Et un site internet à visiter en suivant ce lien

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Visions du salon, ATI, une équipe chaleureuse

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ATI, le fabricant de fours de crémation, accueillait les visiteurs du salon du Bourget sur un stand aux couleurs chaleureuses. Ici, on trouvait tous les renseignements que l’on voulait, que ce soit parce qu’on a en projet un crématorium, que l’on est soucieux de la mise aux normes de celui qu’on gère déjà, ou juste que l’on éprouve une simple et vivifiante curiosité sur le fonctionnement.

ATI avait d’ailleurs eu la brillante idée de faire un mix dans ses équipes entre commercial et technique. Ainsi, vous pouviez discuter sur le stand avec les commerciaux de la société, mais aussi avec les techniciens qui allaient concevoir et installer votre appareil.

Si la foule était moins importante sur le stand, du fait du sujet pointu qui y était abordé, les visiteurs y ont été nombreux, avec des questions précises, et tous sont repartis satisfaits.

ATI sera très prochainement à nouveau dans les colonnes de Funéraire Info, pour faire la preuve que les sujets techniques, lorsqu’ils sont bien expliqués, peuvent devenir captivants.

Le site de ATI

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Visions du salon : le SPTIS en campagne

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Le SPTIS pouvait se targuer d’avoir le plus petit stand du salon, bien que stratégiquement bien placé, dernière minute oblige. N’empêches, c’est fou ce qu’on peut faire tenir comme monde dans trois mètres (cinquante) carrés. Mais chacun sait que les thanatopracteurs ont de la ressource : tables et chaise de bar, comptoir d’accueil, tout tenait et l’on y était bien installé. Sur le stand, Cédric Ivanes, président, et Régis Narabutin, secrétaire, aidés de leurs délégués régionaux, assuraient l’accueil des adhérents et des curieux.

Curieux à priori pleinement satisfaits, puisque, comme nous l’a expliqué Régis Narabutin, « Nous avons enregistré de nombreuses adhésions, promesses d’adhésions, et renseigné encore plus d’intéressés » grâce à cela « Le SPTIS représente aujourd’hui, en nombre d’adhérent, une partie de la profession qui n’est plus négligeable ».

Les thanatopracteurs syndiqués sont revenus du salon enchantés, et confortés dans leurs actions par le soutien qu’ils ont reçu de nombreux professionnels de tous horizons.

Le site du SPTIS

Cédric Ivanes à gauche, Régis Narabutin à droite, encadrent une adhérente (Photo : courtoisie de R.Narabutin)

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Visions du salon, Inov’72, confort réconfortant

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Petit coup de cœur, Inov’72, fabricant et designer de mobilier pour funérarium. A l’origine société de pompes funèbres familiales, les dirigeants se sont mis à fabriquer dans un premier temps le mobilier de leur maison funéraire, insatisfaits de l’offre du marché. Satisfaits du résultat, ils ont alors développé l’activité pour proposer et commercialiser leurs créations.

Sur le stand, un petit salon cosy, confortable, que l’on croirait tout droit sorti d’un catalogue, avec, au milieu, un petit lit. Un examen attentif révèlera une table réfrigérée habillée pour la société.

Dans un coin du stand, un lit pour enfants. « Tout est parti d’une assistante de notre société de pompes funèbres » explique le designer « qui avait reçu la famille d’un enfant décédé et qui cherchait une solution pour la présentation plus esthétique que les bricolages habituels » c’est un prototype qui se trouvait sur le salon « on recueille les réactions, et nous allons sortir une version plus travaillée ».

Le résultat sort des sentiers battus et balisés des maisons funéraires. Une conception intéressante d’un accueil confortable et réconfortant des familles endeuillées.

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Libération, 40 ans en grande pompes funèbres

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J’avais raté l’information publiée en novembre sur le site internet du quotidien Libération, le 13 décembre, «Libé» fête ses 40 ans au Centquatre. Lecteur assidu depuis une trentaine d’années, j’ai cessé de l’acheter depuis une dizaine d’années, mais je consulte régulièrement son site internet, assistant à la lente décrépitude du quotidien que je lisais à l’université. Vous allez me dire, pourquoi nous parler de Libération dans funéraire-Info, nous savons tous que Libération est à l’agonie ? Bon, le plus drôle est à venir, restez avec moi… L’anniversaire aura lieu dans les anciens locaux du service municipal des pompes funèbres à Paris!

40 ans de Libération au 104 ou la chronique d’une mort annoncée

Comment la direction du journal a-t-elle pu choisir un tel lieu pour un anniversaire ? Pourquoi le directeur de la communication ou la rédaction du journal n’ont-ils pas alerté Nicolas Demorand sur le risque pour un journal à l’agonie, un quotidien en soins palliatifs, un canard avec un pied dans la tombe de faire son anniversaire dans un lieu qui n’est autre que l’ancien bâtiment du service municipal des pompes funèbres (SMPF) à Paris…

Depuis 1973, Libération agite les neurones et bouscule les habitudes pour se tourner, aujourd’hui plus que jamais, vers l’avenir… Je suis juste mort de rire en espérant que le choix de ce lieu ne soit pas le chant du cygne du journal lancé le 18 avril 1973 par Jean-Paul Sartre qui doit aujourd’hui se retourner dans sa tombe en voyant Libération en quasi « mort clinique« .

Quand on pense que Libération avait fait remarquer que le QG parisien de Nathalie Kosciusko-Morizet, pour la campagne des municipales à Paris était installé dans un ancien établissement de pompes funèbres en évoquant un mauvais présage…

Une courte histoire du 104

Le bâtiment a été construit en 1873 par le diocèse, et en 1905, suite à la séparation des Églises et de l’État, qu’est créé le service municipal des pompes funèbres (SMPF), Le monopole municipal concernait les cercueils, les corbillards, les « porteurs » et les cimetières. Une part importante du travail relevait de la « pompe ». Ainsi, il était obligatoire (jusque dans les années 1980) de placer des tentures à l’entrée des bâtiments où se trouvaient des morts. 27 000 corbillards partaient chaque année du SMPF, 1 400 personnes y travaillaient comme menuisiers, peintres, maçons ou employés de pompes funèbres, dont une quarantaine de femmes. Ce monopole municipal de la pompe funèbre a pris fin avec la loi Sueur du 8 janvier 1993.
Sur le site de la rue d’Aubervilliers, l’activité a décliné progressivement jusqu’au départ du dernier employé en 1997.

Bon sans rancune et bon anniversaire Libération, vous pouvez lire le programme ici et vous rendre le 13 décembre à cette manifestation, si vous n’êtes pas superstitieux ! en attendant l’avis de décès officiel de Libération…

40 ans de Libération au 104, mauvais présage?

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Visions du salon : voilà, c’est fini…

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Il est temps de tirer un trait sur ce salon du Bourget, dont nous vous avons rendu compte aussi fidèlement que possible depuis notre retour, il y a dix jours. Salve finale, baroud d’honneur, séquence émotion, c’est parti !

Impressionnant, ce visage sortant d'un cercueil a attiré l’œil

Satisfaisant : c’est ce qui ressort le plus de ce salon. Même si tout n’a pas été parfait au niveau de la fréquentation, le jeudi notamment, les carnets de commande sont pleins chez la plupart des exposants. Les jeunes, les timides, qui présentaient pour la première fois leur produit sur le salon, sont pour la plupart rassurés : les croque-morts, non seulement ne se ruent pas sur l’orteil des gens pour le bouffer, mais de surcroît, s’avèrent réceptifs à la nouveauté.

Fréquentation ?

La fréquentation a-t-elle vraiment été en baisse ? Nous attendons les chiffres définitifs, mais dores et déjà, la

Les monuments en acier, ici E-Stel, ont attirés les curieux. Et convaincu

journée du jeudi a été décevant pour beaucoup, en terme de densité dans les allées. La faute peut être à nos amis routiers, qui avaient promis une manif monstre, poussant tout un chacun à reporter leur visite. D’où une affluence record le vendredi.

Alors, moins de monde ? A Funéraire Info, nous n’en sommes pas convaincus. Attendons de voir les chiffres. Et quand bien même : les acheteurs se sont déplacés pour passer leurs commandes. Des contacts se sont noués ou renforcés, des affaires se sont traitées, bref, le salon a parfaitement accompli sa mission.

Pour tous ? Non, pas tout à fait. Mais inutile d’en rajouter sur nos amis Tinois…

Brigite Sabatier, distributrice des cercueils en carton, a choisi des pièces très originales, qu'elle a monté seule en une soirée.

Décoration

La décoration des stands, leur conception même, était de conception totalement professionnelle. Nous en avions déjà parlé, dans notre premier bilan, mais nos correspondants ont vraiment insisté sur le sujet, alors nous y revenons.

Et les façons d’attirer les visiteurs sur ces stands ont été légion. Nous ne parlerons pas ici des accortes hôtesses en minijupe et décolleté profond chargées littéralement d’alpaguer le visiteur sur les stands. Le procédé s’est avéré totalement non-productif, puisque loin d’amuser ou d’attirer les visiteurs, beaucoup ont exprimé leur agacement. Bon, souhaitons que cette

Un petit malaise ? Au rebut

méthode disparaisse, d’autant plus que, maintenant, répondre aux sollicitations de ces hôtesses devrait valoir 1500 euros d’amende.

Beaucoup plus efficace et sympathique était l’attraction sur le stand du Guide Piron, un simulateur de Formule 1. Le stand du Guide a été sans doute l’un des plus fréquentés du salon. Commentaires d’un pilote au sortir du cockpit « Les sensations, il y en a, mais c’est pas facile ! ». Non, certes, Schumacher peut dormir tranquille.

Ici et là, des idées originales attiraient l’oeil : un Rubik’s Cube géant fiché sur un stand, un zeppelin, et même un invité de marque, puisque le sarcophage d’un pharaon trônait sur un stand. Nous avons essayé, en vain, d’interviewer son occupant. Ce n’est que plus tard que nous serons instruits du fait qu’il fallait lui parler de profil.

Le Bourget

On n’a pas assez parlé du site, et du fait d’être accueilli par une

Ariane pour accueillir les visiteurs : la grande classe

fusée Ariane, star montante de l’espace Français, peut être en métaphore du décollage de la profession ? Plus modestement, il s’agissait simplement du musée de l’air et de l’espace qui se trouvait juste à côté. N’empêche : c’était sympathique.

Le site accueille de nombreux salons tout au long de l’année, et le directeur de la publication de Funéraire Info faisait remarquer, non sans malice, que quelques jours avant se tenait sur le même site un salon de l’armement, dont celui auquel nous étions venus assister constituait en quelques sortes le prolongement logique.

Parlez lui de profil, ça ira mieux

Il y en a à qui il ne faut pas dire que la fréquentation du salon était légère, c’étaient les guides de parking. Chargés de veiller à ce que chacun trouve à stationner et surtout, ne le fasse pas n’importe comment, ces derniers avaient fort à faire devant l’afflux constant de véhicules.

Une organisation au cordeau, donc, et les seuls qui pourront éventuellement trouver à y redire sont les fumeurs, obligés de s’adonner, dès le vendredi, à l’entrée principale uniquement, pour des « raisons thermiques ». Nous étions si bien, le jeudi, dans nos enclos chauffés par des parasols au gaz…

Funéraire Info

C’est avec curiosité et bienveillance, en général, que vos serviteurs ont été accueillis sur le salon.

Nous nous sommes à cette occasion remémorés le salon de Lyon, l’an dernier, ou nous errions de stands en stands pour expliquer qui nous étions, et ce que nous faisions. Nul besoin cette année, puisque Funéraire Info était très

"Prenez nous en photo, on est les plus beaux hôtes et hôtesses du salon". Voyons ce qu'en pensent les lecteurs, donc

largement connu, à peine moins largement lu, et globalement apprécié.

Bref, on est contents, on a bien bossé, et tout ça nous a motivés pour faire mieux encore.

Il est temps donc de tourner la page de cette édition et de se remettre, dès demain, à l’actualité du funéraire. Tout en restant dans la continuité du salon, puisque nous avons rencontrés beaucoup de ceux qui seront mis en avant dans nos prochains articles, fait le plein de nouvelles dont nous vous entretiendrons lorsqu’il sera temps, en un mot : nous avons du pain sur la planche.

Mais vous n’étiez pas au salon ? Ou nous n’avons pas parlé de vous ? Aucune inquiétude, Funéraire Info, comme nous l’avons toujours fait, donnera la parole à tout le monde.

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Merci de votre visite à Funéraire Paris 2013!

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Au terme de 3 jours riches en affaires, rencontres et belles découvertes, les participants à Funéraire Paris 2013 vous remercient de votre visite!
Les exposants à cette édition mettent l’accent sur les retours très qualitatifs et sur les échanges constructifs établis durant le salon. Ces échanges sont très importants pour l’évolution de la profession et des produits, ils permettent d’être toujours au plus proche de vos besoins, et de ceux des familles. Cela contribuera aussi à la préparation d’une édition 2015 encore plus riche!

Salon funéraire paris 2013

Funéraire Paris 2013 conforte sa position de leader | Les chiffres clés
225 exposants 20% de sociétés étrangères représentant 12 pays (Allemagne, Belgique, Chine, Inde, Croatie, Espagne, Hongrie, Lituanie, Italie, Pays-Bas, Portugal, Royaume-Uni) 24% de nouveaux exposants Tous les secteurs représentés 6000 visiteurs : stabilité du visitorat par rapport aux éditions 2009 et 2011
Évolutionet modernisation de la filière funéraire
Sur une surface totale de 8600 m² de stands, Funéraire Paris 2013 a su présenter la vitrine exhaustive de tous les produits et services dédiés aux professionnels du secteur.
En effet, vous, indépendants, franchisés, réseaux et artisans avez été agréablement surpris des changements et de la modernisation des produits et services concernant la cérémonie, les services, les machines, les outillages, les matériaux et les soins pour pouvoir ensuite développer leurs stratégies d’entreprises.

Les fabricants innovent et mettent le cap sur les tendances phares du design. Des lignes épurées, des formes, des matériaux nouveaux et des couleurs atypiques. Certaines sociétés font même appel à des designers mondialement reconnus pour créer une « tendance » de cercueils et d’urnes.
Par ailleurs, les technologies numériques et les logiciels sont de plus présents via plusieurs sociétés, signe d’un marché dynamique et en pleine évolution. Nous avons aussi pu constater l’entrée du numérique et du web dans le secteur funéraire avec des « cimetières virtuels » et des QR codes sur les pierres tombales…
Un salon d’informations et de perspectives
Funéraire Paris sert aussi une plate-forme d’échanges et d’information pour la filière. Le salon est allé au delà de sa vocation commerciale en mettant en place un programme de conférences sur les problématiques et les évolutions de la profession.

Grâce au soutien de tous, l’édition 2013 a développé une dynamique économique conviviale et internationale.

Important: nous vous invitons à répondre à l’enquête de satisfaction visiteurs que vous avez reçus par email afin que nous puissions être au plus proche de vos attentes et de vos besoins pour les éditions à venir.
Rendez-Vous en novembre 2015…
En attendant novembre 2015, vous pourrez retrouver les informations concernant les exposants, les photos du salon, la galerie produits et le guide de visite et d’achats sur www.salon-funeraire.com.
A découvrir également en ligne : les vidéos des conférences, les interviews des exposants et visiteurs.

Source: Communiqué du salon du 5 décembre 2013

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Nelson Mandela est mort, un hommage planétaire

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Nelson Rolihlahla Mandela, dont le nom du clan tribal est « Madiba », né le 18 juillet 1918 à Mvezo, était un homme politique sud-africain, il est décédé le jeudi 5 décembre 2013 à son domicile de Johannesburg, à l’âge de 95 ans.

Le décès du Prix Nobel de la paix 1993 et ancien président d’Afrique du Sud a entrainé en Afrique du sud, mais aussi dans le monde entier, une importante vague d’émotion.

  »L’ex-président Nelson Mandela nous a quittés (…), il est maintenant en paix. La nation a perdu son fils le plus illustre », a déclaré le président Jacob Zuma à la télévision pendant une intervention en direct peu après 21 h 30 GMT. « Il s’est éteint en paix. (…) Notre peuple perd un père », a-t-il ajouté avant d’annoncer que les drapeaux seraient mis en berne à partir de vendredi et jusqu’aux funérailles d’État.
Pour la quatrième fois l’ancien président d’Afrique du Sud avait été hospitalisé pour un problème d’infection pulmonaire. A  95 ans, le monde avait toutes les raisons de s’inquiéter de la santé de Nelson Mandela, l’un des plus grands défenseurs des droits de l’homme, figure historique du combat contre l’apartheid.

«Le pardon libère l’âme, il fait disparaître la peur. C’est pourquoi le pardon est une arme si puissante»

Partout dans le monde l’émotion est palpable et les messages de condoléances affluent de personnalités ou d’anonymes …

Dès l’annonce de son décès, les messages de soutien et de condoléances ont commencé à affluer, venus des partis politiques et corps constitués, des organisations de lutte contre le racisme, des dirigeants du monde entier, mais aussi, par milliers, des anonymes sur les réseaux sociaux. Twitter et Facebook bruissaient ce jeudi de messages dans toutes les langues du monde, sur le thème « RIP Madiba ou RIP Mandela« 

Nelson Mandela, en 2008.

Le 24 juin 2013, l »état de santé de l’ancien président sud-africain s’est aggravé au cours des dernières 24 heures.  Il était dans un état «critique». Transporté à l’hôpital « Medi-Clinic Heart Hospital » le 8 juin et malgré
une panne de l’ambulance pendant quarante minutes au bord de l’autoroute, l’optimiste était revenu.

Nelson Mandela  avait fêté ses 95 ans le 18 juillet.

Son dernier séjour à l’hôpital, pendant 9 jours, remonte au mois de mars. Dans un communiqué la présidence à annoncé « Ce matin vers 1 h 30 son état s’est détérioré et il a été transféré dans un hôpital de Pretoria » avant d’ajouter :  »Le président Zuma, au nom du gouvernement et de toute la nation, souhaite à Madiba une guérison rapide et demande aux médias et au public de respecter l’intimité de Madiba et de sa famille« .

il était apparu très affaibli sur les dernières images de lui qui ont filtré fin avril 2013, à l’occasion d’une visite des plus hauts dirigeants du pays et les images avaient déclenché une polémique.

« icône mondiale de la réconciliation »  Desmond Tutu

En décembre 2012, Nelson Mandela avait  fait l’objet d’une hospitalisation longue de dix-huit jours pour un problème identique lié sans doute aux séquelles d’une tuberculose contractée durant ses années passées au bagne de Robben Island (dix-huit de ses vingt-sept années de captivité ont été passées au bagne de Robben Island, au large du Cap).

Nous demandons au peuple sud-africain et au monde entier à prier pour notre cher Madiba et pour sa famille (…)

Nelson Mandela, président de 1994 à 1999, a passé vingt-sept ans de sa vie en prison, pour avoir lutté contre le régime d’apartheid, qui instaurait une discrimination raciale en Afrique du Sud. Libéré en 1990, il est devenu quatre ans plus tard le premier président  noir de son pays, après avoir obtenu en 1993 le prix Nobel de la paix pour avoir mené à bien les négociations vers la démocratie.

Nelson Mandela était très affaibli, et n’est pas apparu depuis près de trois ans en public. Mandela habitait entre Johannesburg, la plus grande ville du pays et Qunu, le village où il a grandi et où repose son fils Makgatho Mandela mort en 2005 du Sida.

La dernière apparition publique de cette « l’icône mondiale » remonte au soir de la finale de la Coupe du monde de football 2010 en Afrique du Sud, en direct devant plusieurs milliards de téléspectateurs.

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Crématorium : une mise aux normes d’ici 2018

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Des dispositifs de filtrage devront être installés sur les crématoriums avant le 16 février 2018, pour limiter toute pollution atmosphérique. Cette mise aux normes engage la responsabilité des collectivités.

Seules les communes et les structures intercommunales sont compétentes pour créer et gérer les crématoriums et les sites cinéraires, directement ou en gestion déléguée. Les crématoriums doivent être équipés de filtres, pour éviter la pollution de l’atmosphère (mercure provenant d’amalgames dentaires, métaux lourds, dioxine…) mais aussi des sols (formol utilisé pour la thanatopraxie).

Ces dispositifs devront être installés avant le 16 février 2018. Aujourd’hui, moins d’un crématorium sur cinq respecte les normes, selon une interview donnée par la présidente de l’Union des professionnels du funéraire public, Corinne Loiodice, à La Gazette des communes. En 2015, sur les 182 crématoriums en fonctionnement, seuls 34 (19 %) auront un système filtrant.

La mise aux normes coûte cher : 400 000 euros en moyenne. La situation est donc en attente. Les collectivités qui gèrent les crématoriums en régie (25 %) laissent passer les élections de mars 2014, tandis que les délégataires cherchent à renégocier la durée de leur contrat pour faire face aux coûts de mises aux normes. En effet, afin de respecter l’équilibre financier des contrats, la durée de la DSP peut être prolongée ; le délégataire peut aussi augmenter les tarifs appliqués aux familles.

Pour lire la suite, suivez le lien :

Crématoriums : une mise aux normes d’ici 2018 – Éditions Weka.

(c) Weka

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Les obsèques sous X

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Les obsèques sous X : la procédure a été rappelée au grand public lors d’une récente et dramatique actualité. L’occasion de rappeler certains principes.

Obsèques sous X

Comme l’a montré le cas de la petite Adélaïde, qui n’avait pas d’existence légale, les obsèques sous X ne sont pas les obsèques d’un défunt sans identification, mais les obsèques d’une personne dont on ne peut pas corréler indubitablement l’identité établie avec les registres d’état-civil.

Ainsi, si il n’est pas inexact de dire qu’une personne enterrée sous X est une personne dont on ne connaît pas l’identité, la petite Adélaïde a été inhumée sous ce procédé en attendant qu’une déclaration de naissance et une déclaration de décès soient établies et corrélées, afin de lui donner une existence légale.

Il semble difficile de le croire, mais il n’existes pas encore aujourd’hui de fichier exhaustif et précis des défunts sous X en France, à tel point qu’on en ignore le nombre exact. Si le chiffre de 3000 est avancé, beaucoup penchent pour un nombre plus modeste, entre 500 et 1000 chaque année.

Procédure à la carte

Il n’existe pas de procédure définie et standard pour les décès sous X. Le procureur de la république est saisi du dossier et est seul décisionnaire de l’autorisation d’inhumer. Cela dépend de beaucoup de choses : les circonstances du décès, les éléments qui peuvent permettre à l’identification du défunt, les éventuels soupçons qui peuvent peser sur lui quand à son implication dans une activité illégale voire criminelle, et un brin de bonne volonté.

Ainsi, les empreintes digitales sont enregistrées, voire des prélèvements ADN effectués, désormais et depuis une loi datant de 2008, mais il n’existe pas de fichier central ou l’on pourrait croiser ces informations avec celles des personnes portées disparues. Il faut le faire au cas par cas, à chaque fois sur une demande spécifique. Long et fastidieux.

Une fois le permis d’inhumer signé, c’est à la mairie du lieu de décès d’agir, en ouvrant des droits pour des obsèques en indigent, chargeant une société de pompes funèbres d’intervenir et fournissant un terrai pour l’inhumation.

Des centaines d’enterrés sous X ont ainsi fini en carré commun, avant d’être exhumés et crématisés au bout de cinq ans, mettant un coup d’arrêt définitif à toute possibilité d’identification.

La solution

La solution réside dans un fichier centralisé et informatisé, ou les empreintes digitales, l’ADN et les éléments contextuels (vêtements, localisation géographique, origine ethnique, âge, sexe…) seraient croisés de façon systématique avec le fichier des disparus. Une « usine à gaz » coûteuse et complexe à mettre en place, qui ne déchaîne pas l’enthousiasme des foules : combien de ces décès sont aujourd’hui médiatisés ?

Seules quelques associations contribuent, dans la mesure de leurs moyens, à aider les familles à identifier les défunts et à solliciter les pouvoirs publics afin de rendre à chacun ce qui lui revient de droit : son nom.

 

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